Larchey, 1865 : Triple ride qui imprime au coin de chaque œil, trois sillons d’apparence palmipède.
Aux tempes la patte d’oie caractéristique et au front les marches du palais montraient des rides élégantes, bien prisées à la cour de Cythère.
(Balzac)
La Rue, 1894 : Carrefour. Rides près de l’œil.
France, 1907 : Carrefour.
France, 1907 : Rides qui partent du coin des paupières et s’étendent triangulairement sur les tempes.
Puis, quand les années arrivèrent, quand le corsage devint plus riche et moins ferme, quand la patte d’oie brida les yeux, quand les lèvres, plus molles, eurent perdu leur fraîcheur, elle se vit subitement délaissée pour d’autres aussi folles qu’elle, qui arrivaient, radieuses, avec le sourire de leurs vingt ans.
(Edmond Deschaumes)